A. et B. sont les parents d’un enfant majeur. Ils se sont séparés en 2011 et ont divorcé en 2017. Les parties s’affrontent depuis sur la contribution d’entretien (voir également l’arrêt 5A_213/2019 ; iusNet DC 28.10.2019). Après que celle-ci a été fixée, A. recourt au Tribunal fédéral, concluant à sa diminution, voire sa suppression.

A. avait fait valoir qu’il n’était plus en mesure de travailler. C’est donc à bon droit que les instances cantonales ont retenu qu’il fallait partir du principe qu’il recevrait une rente pleine. Il appartenait ensuite à A. de faire valoir qu’il ne la recevait pas. Or, il a eu l’opportunité de produire ces pièces dans la procédure en tant que novas, ce qu’il n’a pas fait.

A. ne parvient pas non plus à démontrer que les autres postes auraient été calculés de façon arbitraire, et son grief relatif à la durée de la contribution d’entretien est nouveau, et donc irrecevable.

Le recours est donc rejeté.