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Nom de l’enfant

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Modèles commentés

iusMail / iusNet DROIT CIVIL propose à ses abonnés des modèles commentés établis par des praticiens pour agir efficacement en justice.

Ces modèles proposent des conseils pratiques, notamment concernant les délais pour agir et les voies de recours possibles mais également des cas pratiques et des propositions de solutions.

Ces modèles sont disponibles en format PDF et WORD dans la rubrique « documentation ». 

 

Modèles en ligne

 

Droit des personnes

Création d'une association

Acte constitutif d'une fondation et Réglement du conseil de fondation

 

Droit matrimonial

Action en paiement d’entretien de l’enfant majeur

Action en modification du jugement de divorce

 

Droit des successions

Action en délivrance de legs

 

Droits réels

 Action en partage de la copropriété 

Action en contestation de décisions de la communauté des copropriétaires par étages

 

 

 

Nom de l’enfant

Jurisprudence
Droit des personnes
Mots-clés: 
Nom, Nom de l’enfant
Articles de loi: 
art. 30 CC
art. 39 CC
art. 40 CC
art. 41 CC
art. 42 CC
art. 43 CC
art. 44 CC
art. 160 CC
art. 270 CC
iusNet DC 16.12.2019

Nom de l’enfant

A. et B. sont en litige avec l’office de l’état-civil quant au nom de leur fille C. Ils souhaiteraient que celle-ci porte un double nom, qu’ils portent eux-mêmes. Après que cela leur a été refuser, ils recourent au Tribunal fédéral.

Le Tribunal fédéral rappelle que les parents mariés qui ne portent pas le même doivent déclarer au moment du mariage ou lors de la naissance de leur premier enfant quel nom portera ce dernier. Un changement de nom du père (en faveur du double-nom) à l’étranger et sans effet rétroactif n’a pas d’effet sur le nom de célibataire du père – or seul le nom de célibataire du père ou de la mère peut être choisi pour l’enfant.

Le fait que la mère ait porté le double nom à la suite de son mariage – sous l’ancien droit du nom ­­– ne suffit pas à considérer que les parents ont le même nom de famille. En tout état, l’enfant est née cinq ans après l’entrée en vigueur du nouveau droit, et il n’est donc pas possible de lui appliquer l’ancien droit.

Enfin, la conséquence que l’enfant ne porterait pas le même nom que ses parents n’est pas un motif pour remettre en cause ce résultat, et n’est pas non plus une violation de la CDE.

Le recours...

 

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