A. et B. sont les parents de quatre enfants. Ils ont divorcé en 2020 et sont en litige au sujet de la contribution d'entretien due aux enfants et du partage de la prévoyance professionnelle. Après que ces points ont été fixés en deuxième instance, A. recourt au Tribunal fédéral.

Les époux étaient mariés sous le régime (français) de la séparation de biens, et A. disposait d’un important patrimoine immobilier, mais pas de deuxième pilier. B. n’avait pas une fortune comparable, et le partage de son 2e pilier apparaissait donc injustifié. Cette démonstration échappe à la critique.

Concernant les contributions d'entretien, c’est sans arbitraire que l’instance précédente a pris en compte un revenu du fait de la location de ses biens immobiliers. Il ne s’agit pas d’un revenu hypothétique, mais bien d’un calcul des revenus réels de A. Quant à la charge fiscale qui pesait sur ces revenus, A. ne s’en est pas plait en appel, et ce grief est donc irrecevable.

Enfin, ses griefs relatifs à l’assistance judiciaire sont insuffisamment motivés, et donc irrecevables,

Le recours est donc rejeté.