A. et B. sont les parents de C. Ils se sont séparés en 2013. À la suite d’une longue procédure, le divorce a été prononcé en 2020. La garde a été attribuée à B., A. jouissant d’un droit de visite et devant payer une contribution d'entretien. Une curatelle a également été mise en place.

Les nombreuses écritures de A. qui ont été déposées après l’échéance du délai de recours, de même que les faits nouveaux et les demandes connexes visant les médecins, l’ancienne avocat de A., ou un éventuel recours à la CEDH sont irrecevables. Le mémoire est au surplus prolixe et les griefs de A. peu clairs. Elle ne parvient en tout état pas à démonter que la décision de l’instance précédente serait mal fondée, et le Tribunal fédéral ne pourrait en tout état pas créer de normes générales et abstraites relatives au traitement de l’enfant dans les procédures de divorce.

Le recours est donc rejeté.