A. et B. sont les parents de deux enfants. Ils se sont séparés en 2020 et sont en litige au sujet de la contribution d’entretien. Après que celle-ci a été fixée en deuxième instance, A. recourt au Tribunal fédéral.

A. a été licencié pendant la pandémie, puis est retourné en Italie. Il n’a pas demandé d’indemnités de chômage, et réalise maintenant un revenu inférieur à celui auquel il pouvait prétendre s’il était resté en Suisse – ses lacunes linguistiques pouvant au besoin être comblées par une formation. Dans ces circonstances, il n’était pas arbitraire de retenir qu’il avait renoncé à une partie de sa capacité de gain et de lui imputer un revenu hypothétique correspondant.

Le recours est donc rejeté.