A. et B. sont les parents non-mariés de C. C. a été blessé par le chien de son oncle en présence de A. et en a été traumatisé. Cela a conduit à l’instauration d’une curatelle, et à la réglementation de la garde et du droit aux relations personnelles, qui a été supprimé dans un premier temps. A. recourt au Tribunal fédéral sur la question du droit aux relations personnelles.

Compte tenu du bien de l’enfant, la suppression puis la reprise progressive des relations entre A. et C. semble la plus appropriée dans le cas d’espèce.

Le recours est donc rejeté.

Lire également la chronique de jurisprudence du professeur Philippe Meier dans la Revue de la protection des mineurs et des adultes.