Suppression avec effet rétroactif de la contribution d'entretien
Suppression avec effet rétroactif de la contribution d'entretien
A. et B. sont les parents de C. Is se sont séparés en 2010 et la situation entre eux est tendue. Ils ont finalement divorcé en 2017. La garde a été attribuée à A., B. jouissant d’un droit de visite. Les parties s’opposent à nouveau sur la contribution d'entretien dans le cadre de mesures provisionnelles, à la suite d’une demande de modification déposée par B. À nouveau, B. n’a pas été condamnée au versement d’une contribution d'entretien, et A. recourt au Tribunal fédéral.
Compte tenu du fait que B. bénéficie de l’aide sociale, on peut sans arbitraire partir du principe qu’elle est indigente et ne peut participer à l’entretien de C. A. ne démontre pas qu’elle aurait une fortune cachée ou qu’elle serait soutenue financièrement par son père, de sorte que son premier grief est écarté.
Dans la mesure où son grief est recevable, A. ne démontre pas en quoi les prestations qu’aurait reçues B. de la part de tiers, par exemple du père de ses autres enfants, seraient pertinentes pour l’entretien, faut de couvrir les périodes en cause, ou se rapportant à des postes de charges des enfants, et non de B. elle-même. Il en va de même pour ses griefs relatifs aux possibilités d’...
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