A. et B. sont les parents de deux enfants. Ils se sont séparés en 2020. Les parties sont en litige de la contribution d’entretien. Après que celle-ci a été fixée en deuxième instance, A. recourt au Tribunal fédéral.

Dans la mesure où ses griefs sont recevables, A. ne parvient pas à remettre en cause le salaire qui a été retenu pour elle, ni la charge fiscale B., sachant que la maxime inquisitoire s’appliquait compte tenu des enfants mineurs et que les différences alléguées seraient en tout état minimes.

La cour cantonale a également correctement pris en compte la primauté de la contribution d’entretien du conjoint sur celle de l’enfant majeur, et a couvert les besoins d’entretien de A. avant de prendre en compte la contribution d’entretien de l’enfant majeur.

Enfin, les différences alléguées causées par les cotisations au 3e pilier sont trop minimes et insuffisamment motivées pour être prises en compte.

Le recours est donc rejeté.