A. et B. sont les parents de trois enfants, dont deux sont aujourd’hui majeurs. Ils ont divorcé en 2009 sont en litige au sujet de la contribution d’entretien due par B. Les contributions d’entretien ont déjà été modifiées à plusieurs reprises, et A. demande maintenant une réduction rétroactive plus importante et la suspension des versements. Cela lui ayant été refusé, il recourt au Tribunal fédéral

A. ne parvient pas à démontrer en quoi la cour cantonale aurait considéré de façon arbitraire qu’il n’était plus en mesure de réaliser le même revenu qu’auparavant, même s’il était au chômage. Il n’a pas non plus fourni d’indication sur son futur emploi qui montrerait une modification durable de son revenu. Il ne démontre pas non plus que B. aurait renoncé à une partie de sa contribution d’entretien – d’autant que la maxime d’office s’applique pour les enfants.

Enfin, il n’existe pas de possibilité de suspendre le versement d’une contribution d’entretien pour les enfants.

Le recours est donc rejeté.