Clôture en bordure de terrasse
Clôture en bordure de terrasse
A. et B. sont les voisins de C. et leurs maisons respectives sont construites en terrasse, sur le flanc d’une colline. A. et B., qui sont dans la maison du haut, sont tenus selon une convention de servitude d’installer des plantes qui masqueraient la vue sur la maison du bas. Leur prédécesseur les avait toutefois enlevés. C. avait de son propre chef installé des poteaux qui dépassaient d’environ un mètre, fixés sur sa façade extérieure. Ce procédé a été admis en deuxième instance. A. et B. recourent au Tribunal fédéral.
Compte tenu de la valeur litigieuse, le recours est traité sous l’angle du recours constitutionnel subsidiaire.
La cour cantonale était parvenue à la conclusion – sous l’angle d’une action possessoire – que les parties avaient la copossession du mur et que les demandeurs n’avaient pas démontré quelles seraient les immissions excessives qui devraient être interdites. A. et B. ne parviennent pas à démontrer que ce résultat serait arbitraire.
Le recours est donc rejeté.
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