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Droit de la protection de l’adulte et de l’enfant
Il est possible de retirer le droit de déterminer le lieu de résidence de l’enfant tout en maintenant un large droit de visite pour l’un des parents, qui correspondrait à une garde alternée.
A. et E. sont les parents de trois enfants. Ils se sont séparés en 2013. Les enfants présentent des troubles et ont fait l’objet de signalements, en particulier pour un cas d’inceste au sein de la fratrie. A. et E. se sont vu retirer le droit de déterminer le lieu de résidence de l’enfant. A. recourt au Tribunal fédéral.
Champ d’application territorial de la Convention du 13 janvier 2000 sur la protection internationale des adultes
Le champ d’application territorial de la Convention du 13 janvier 2000 sur la protection internationale des adultes a été étendu.
A. et B. sont les parents de trois enfants. D. présente un polyhandicap, et les enfants ont fait l’objet de plusieurs signalements puis d’un placement. A. et B. recourent au Tribunal fédéral.
Modification du champ d’application de la Convention HCCH Protection des enfants de 1996 (CLaH 96)
Le champ d’application territorial de la Convention du 19 octobre 1996 concernant la compétence, la loi applicable, la reconnaissance, l’exécution et la coopération en matière de responsabilité parentale et de mesures de protection des enfants (Convention HCCH Protection des enfants de 1996, CLaH 96) a été étendu.
A. et B. sont les parents nourriciers de E. la mère de E. a ensuite demandé et obtenu que sa fille revienne auprès d’elle. A. et B. ont demandé l’octroi d’un droit de visite dans le cadre de cette procédure, et se sont opposés aux mesures décidées, mais leur recours a été déclaré irrecevable. Ils recourent au Tribunal fédéral.
A. souffre de schizophrénie est placé sous curatelle de portée générale. Il a notamment été acquitté de meurtre en raison de son irresponsabilité pénale. Il a ensuite fait l’objet d’un placement à des fins d’assistance, qu’il conteste. Il a demandé sans succès la levée de cette mesure et recourt au Tribunal fédéral.
B. a fait l’objet d’un placement à des fins d’assistance en raison de son diabète et de sa démence. Son ex-femme, A. a recouru sans succès contre cette décision, elle recourt maintenant au Tribunal fédéral.
A. a été nommé par une autorité étrangère comme administrateur des biens de B., selon le droit étranger. A. a tenté sans succès de faire reconnaître cette décision, et il recourt au Tribunal fédéral.
A. et B. sont les parents de deux enfants. Il se sont séparés en 2020 et sont en procédure de divorce. Dans ce contexte, les enfants ont été placés. A. s’est vu refuser l’effet suspensif à l’appel et recourt au Tribunal fédéral.
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